Cette gamme très complète et d'une esthétique épurée classique apporte     les solutions pour gommer les aspects négatifs du matériel habituel :

          AJOUTER DU MOELLEUX ET SOULAGER LA BOUCHE AMELIORE
                      LA RELATION ET MET EN VALEUR LE CHEVAL   
     Le cheval a davantage de rebond, du confort et de meilleurs résultats.                                Il est en pleine forme plus longtemps.
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Pour le plaisir ou la compétition, la bonne relation consiste à adopter une communication confortable pour le cheval en le laissant s'exprimer naturellement ... en alternance uniquement lorsque c'est nécessaire, avec un "pilotage non invasif". L'évolution de la génétique des chevaux de sport va dans le sens d'une très forte propulsion et d'une bouche délicate, associées à beaucoup de caractère.
C'est pourquoi le "mors simple" devient plus un objectif à atteindre, qu'un moyen d'obtenir l'idéal. En effet, pour ne pas risquer d'emboutir les chevaux (source de 90% des problèmes), les deux savoir-faire de base sont :

1) quand on veut étirer le cheval grâce à la descente d'encolure (ou le déployer dans la prise d'amplitude), comme un ostéopathe le fait, il faut aller dans le sens opposé à l'étirement de manière douce, constante et progressive, alors que le cheval résiste (lutter est sa réaction instinctive) ... puis lâcher de manière à ce que ce soit le cheval lui-même qui découvre les bienfaits de l'étirement.. et ait envie de recommencer.. Ainsi par la répétition, le dos et la base de l'encolure sont remontés de façon permanente, dosable et des variations d'ajustement sont possibles en 5,4,3,2, une foulée et restent stables avec effacement des aides, jusqu'à nouvelle indication.
Donc, faire cet exercice en filet simple qui va commencer par tirer sur la bouche au début de la demande, inquiète le cheval et parasite la communication ... alors que c'est simple avec le filet Bel ami dont l'action des rênes est perpendiculaire à la direction de la bouche (impossible de tirer) et coulisse dans les oeillets du mors pour aller appuyer sur la muserolle en épargnant la bouche, rejoignant la manière des éthologues qui appuient sur le chanfrein pour dire "dépêche-toi de te détendre" en allant avec la tête vers l'avant et vers le bas.
La preuve de cet état de fait est la relation de confiance dans la main procurée par le Bel ami, le cheval retrouvant immédiatement l'amplitude et le rebond de ses allures en liberté ... sans agacement ni risque de perte de locomotion imputable à la main du cavalier.

2) Il faut équilibrer le cheval pour le ralentir, et non le freiner pour l'équilibrer (ce qui est source de conflit et détériore les capacités de notre ami athlète). L'activité (le régime moteur) doit augmenter et le cheval doit être plus rapide derrière, le temps d'effectuer la transition afin de repartir sans rupture de rythme.

 

Concrètement, seuls 10% des chevaux ne perdent pas de locomotion en "prenant du galop" (point 1), et seuls 1% sont capables de se mettre sur les hanches sans être contrariés (point 2), c'est ce qui explique que 999 chevaux sur mille qui sautent montés 1,90 m sur le dernier obstacle d'une épreuve des 6 barres ont du mal à effectuer un parcours 40 cm plus bas en s'articulant correctement. Comme Philippe ROZIER, Max THIROUIN, Cédric ANGOT, Cédric HUREL, Guillaume FOUTRIER etc. il ne tient qu'à vous de changer la tendance en suivant les conseils donnés sur ce site et en essayant le matériel proposé. 

 

Si vous êtes d'accord avec cela, je vous souhaite la bienvenue sur ce site, dont chaque produit présenté, a été particulièrement étudié pour associer contrôle et relâchement, au cas par cas.  

 

Apparition du mors G1 :

Compte tenu d'un colloque à Saumur, qui a révélé que les tensions de rênes enregistrées peuvent atteindre entre 50 et 100 kg lorsque le cavalier met de l'intensité ... notre première urgence a été de concevoir un mors G1, avec lequel il est impossible de tirer sur la bouche du cheval. Son secret breveté fait des merveilles puisqu'il est utilisé par les très nombreux cavaliers qui veulent améliorer leur main, du cavalier amateur qui fait de la promenade ou saute des obstacles, jusqu'au cavalier de haut niveau qui ne veut pas inquiéter un cheval sensible.

Naissance du filet Bel ami : 

Devant le succès énorme de ce modèle G1, nous avons créé une deuxième version dont l'action est combinée sur l'auge et la muserolle. Il s'agit du filet magique Bel ami, grâce auquel l'harmonie musculaire qui passe pour être une utopie ... devient une réalité! Monté, le cheval retrouve tout le rebond et l'élasticité de ses allures. Fini les risques de lésions de la ligne du dessus avec des zones de chaleur ou de déformations, et une exposition aggravée des muscles, tendons, ligaments et articulations ... Avec ce matériel simple, il est facile d'éduquer le cheval en lui faisant pratiquer une bonne gymnastique, qui lui apporte grande forme et longévité. C'est aujourd'hui le meilleur produit du marché pour améliorer la relation de confiance entre la bouche du cheval et la main du cavalier.

      

Arrivée du mors G2 :  

Puis à la demande générale, les cavaliers de compétition ayant besoin d'un matériel qui soulage la bouche mais avec davantage de réactivité pour le Concours, il nous a fallu inventer le G2. L'évidence est de travailler dans la légèreté avec les aides, surtout avec les mains. En effet, la bouche du cheval et les structures qui la composent sont fragiles. La langue, en particulier, doit jouer le rôle d'un matelas amortisseur sous la pression modérée du mors. Lorsque ce n'est pas le cas avec les tensions de rênes constatées d'une manière quasi générale, dix fois supérieures à toutes les préconisations, il n'est pas étonnant que les dentistes se trouvent face à des tuméfactions multiples, faisant ressentir au cheval un conflit augmenté par l'effet mémoire et la répétition des séances. Concrètement, cet état de fait engendre des douleurs le faisant fuir ou des résistances, qui sont à l'origine du manque de précision dans la conduite et de la plupart des accidents. Le résultat est que les consultations vétérinaires sont saturées par les bilans et soins concernant une usure générale prématurée, avec des blocages articulaires et vertébraux d'ailleurs souvent déjà décelés en amont par les ostéopathes ... les situations qui en découlent, bien au-delà du temps perdu, sont suffisamment nombreuses, navrantes et connues qu'il nous a paru incontournable d'agir pour la bonne cause. En s'inspirant de la technicité du Bel ami, mais cette fois en attachant les rênes sur le mors, le pari est largement gagné.

       

Les filets G3 (Chance, 007, Maestro et Tip-Top) complètent la collection 

Alors que nous pensions la collection de mors et filets complète, s'est posé le problème des chevaux récalcitrants. Avec ceux-ci, les matériels précédents arrangent bien la situation mais ne suffisent pas. Tant qu'un cheval ne dit pas oui et donc que la "désescalade" ne s'opère pas, en raison d'un caractère dominant, et ou, du fait que l'éducation précédente a mal tourné ... le risque est grand que la logique correcte confort/inconfort dérape en technique de "faire mal pour soumettre" au cours d'une crise de notre égo, ou du fait de tractions violentes sur les rênes dans le feu de l'action. Et si nous essayons d'utiliser tels quels ces athlètes hors normes, leur contrôle et leur locomotion restent parasités. L'enjeu est de taille, car nous savons que ces chevaux ont le potentiel pour devenir les meilleurs du monde, et nous espérons qu'ils deviennent des premiers de la classe. A titre d'exemples en Dressage, la preuve en est les commentaires par J.L. Force de la reprise de concours complet des J.O. de Rio. Les termes suivants ont été prononcés un très grand nombre de fois : "dos contracté", "figé", "ne fonctionne pas en souplesse", "bouche difficile","mise en main compliquée", etc. Et à l'obstacle, c'est la même chose : la plupart des chevaux sautent 1,80m ou 2m sur un obstacle isolé ou le dernier élément d'une épreuve des 6 barres... et perdent au moins 25 % de leur potentiel sur un parcours technique. Le plus difficile en équitation est de garder au cheval, malgré le dressage et le pilotage, la qualité naturelle de ses allures et de son saut : souplesse, rebond, coordination de la posture dans les transitions et au dessus des barres.

Concernant le matériel, l'importance du défi nécessite de mettre le focus au bon endroit et de façon parfaitement dosée. En effet, n
otre main peut agir sur une ou plusieurs parties de la bouche ou de la tête, qui ont des niveaux de sensibilité et de tolérance tellement différents qu'il est primordial de faire les bons choix. Dans le cas du cheval très fougueux et non éduqué, ce serait par exemple une grave erreur de mettre un mors droit qui fait mal avec une grande branche et une gourmette métallique sur l'auge du style bride, grand pelham ou bien grand hackamore classique... car le cheval deviendrait vite encore plus furieux et dangereux. Même si la main du cavalier est experte, elle agirait alors sur les barres et l'auge, parties dont la sensibilité est exacerbée, en faisant en plus levier! En fait, la bonne sensation est que le cheval se fléchisse de derrière en se grandissant devant. Et il est clair que pour bien le faire, le cheval doit resté relâché, sinon il se tend sinon par réflexe physiologique sur ses jambes arrière. L'ostéopathie nous explique en effet, qu'au cours des changements de postures demandés, lorsque les premières variations angulaires ne se font pas, c'est parce que le cheval lutte avec ses muscles, en s'arc-boutant plus ou moins au sol. Le cavalier doit donc garder une intensité et une durée très modérées dans l'utilisation de ses mains, celles-ci agissant comme les doigts du pianiste qui veut juste donner un effet "Moderato" ou bien "Andante" à la mélodie de la locomotion du cheval.

Après réflexion, il nous a paru judicieux d'intervenir davantage sur le chanfrein, comme le font les éthologues avec une pression indiquant très nettement "dépêche-toi de te détendre". Et les essais confirment que c'est la solution ! Ensuite, l'équitation de qualité, qui est la seule à épanouir notre ami ... passe par l'acquisition de nombreux savoir-faire pour le cavalier et son cheval, dans un état d'esprit d'équipe et de bienveillance, qu'il suffira de mettre bout à bout et de répéter pour les améliorer, lorsqu'ils seront déjà satisfaisants.       

 

Cerise sur le gâteau : la technologie des filets Masters  

 

  

 Les résultats sont au rendez-vous et se traduisent par de très nombreux témoignages spontanés de remerciements, accompagnés par des bouleversements à la hausse dans les classements en compétition. L'amélioration de la préparation des chevaux et leur vente sont également facilitées. Associé au fait que les filets sont déjà polyvalents, parce que conçus en taille unique Full/Cob pour habiller du petit au grand cheval, le défi à relever a été d'imaginer et de mettre au point les mors Masters à anneaux ouvrants.

Ainsi une sellerie moderne se résume à quelques filets, qui avec une douzaine d'embouchures disponibles en tailles 125 ou 135, en valent une centaine. Et le cheval a en permanence, le meilleur matériel adapté à son énergie et au travail envisagé.


 

 

Le secret de ces mors et filets : ils permettent d'obtenir ensemble contrôle et relâchement. 

Pour preuve, les risques de défenses s'atténuent puis disparaissent ... quasiment 100% de l'énergie devient disponible. On constate une amélioration du rebond et de la qualité des allures, ainsi qu'un gain rapide de hauteur sur les obstacles. La réceptivité et la précision augmentent sur des rênes à peine tendues ... et le retour au mors simple devient de plus en plus aisé. Les soins vétérinaires se limitent alors, le plus souvent, à de simples contrôles de santé. Tout simplement parce que les courbatures, l'ankylose et les inflammations, apparaissent beaucoup moins lorsque le travail devient un jeu dans l'harmonie musculaire, au cours duquel le contrôle s'obtient avec la participation du cheval...  

 

Un concept intéressant tous niveaux et toutes disciplines

A un premier niveau d'équitation de loisirs, ce matériel est parfaitement recommandé : votre monture va pouvoir évoluer sur des rênes presque longues, tout en étant plus réceptive et au contrôle qu'avec un matériel ordinaire. Et si vous souhaitez vous essayer au Dressage ou sauter un obstacle, vous pouvez le faire en préservant la bouche.
A un niveau équestre intermédiaire, la locomotion montée du cheval et son fonctionnement en harmonie avec celui du cavalier, s'améliorent vite. Le cheval "franchit" mieux son mors et peut ainsi prendre davantage de propulsion sans précipiter, et revenir de façon fluide dans une postrure privilégiant l'équilibre.
Enfin, pour le haut niveau, le fait de soulager la bouche et d'agir efficacement sur la muserolle, permet d'obtenir rapidement rondeur, flexibilité, et cession de mâchoire. Il est alors possible de développer une forte tension du dos du cheval, disponible dans la légèreté. Parce qu'il gagne en équilibre, le cheval change mieux d'amplitude et acquirert de la puissance et du calme. En CSO par exemple, le cheval s'articule beaucoup mieux dans son galop et au desssus de l'obstacle, en coordonant son moteur (arrière-main) et son balancier (tête/encolure). Les exercices et les sauts s'enchaînent plus aisément dans la rectitude. Avec moins de conflits, donc moins de pression, la précision dans les abords augmente, le cheval est plus respectueux et gagne de la hauteur sur ses trajectoires, qui sont également mieux centrées. Ce matériel met à l'honneur "la main en Or".

Soulignons que les matériels que nous fabriquons sont demandés dans toutes les disciplines, pas seulement olympiques, mais aussi pour l'attelage, le horse-ball, l'endurance et les courses (trot, galop, steeple-chases).  

 

Une grande variété de modèles d'embouchures  

 

En discutant avec les cavaliers, nous avons compris que la courbure évasée des grands anneaux inquiètent moins les chevaux délicats, et les rend plus sereins.. Ensuite, les essais démontrent l'ordre suivant, du plus confortable au plus efficace pour la tenue du cheval :

- l'embouchure "chamallow" avec rondelles en gel est la plus adaptée pour les jeunes chevaux, surtout installée sur le bridon Bel ami.
- une embouchures à "passage de langue" aanatomique est intéressante pour les chevaux en début de formation ou sensible de la langue, car elle réduit la pression par une courbure qui protège la langue. C'est une bonne anticipation pour mettre le cheval en confiance et éviter qu'il ne cherche à passer la langue par dessus le mors.
- l'embouchure en résine souple blanche est moelleuse et convient aux chevaux délicats, dans le travail et les épreuves de vitesse.
- l'embouchure simple brisure en inox creux est bien, surtout pour les jeunes chevaux sans problème particulier. Il est prudent de verifier que la brisure ne heurte pas le palais en haut de la cavité buccale.
- l'embouchure simple brisure en inox plein, à condition de ne pas être trop fine, donne de la stabilité à la mise en main.
- l'embouchure double brisure est la plus polyvalente. Son articulation lui permet d'épouser les formes à l'intérieur de la bouche. On s'en sert de préférence avec les chevaux adultes, dans la mesure où les tensions de rênes restent modérées. Il est préférable que les canons du mors soient en résine plutôt qu'en métal.
- l'embouchure en résine semi-rigide a une légère action sur les barres. Elle peut tout changer en mieux, avec les chevaux dont l'intérieur de la bouche a été tuméfié, sous réserve justement que les barres aient été épargnées.
- l'embouchure "chamallow" avec passage de langue est parfaite pour tempérer les chevaux de sport qui ont beaucoup de sang.
- l'embouchure avec les doubles canons en titane incite à la salivation. C'est la référence pour travailler les gammes sur le plat, passer dans la décontraction du grand galop au petit galop et vice versa. Elle peut même être utilisée à l'obstacle (avec un cavalier expérimenté), car le titane (ni dur, ni froid, et très léger) ne prend quasiment pas sur la locomotion. Il faut penser à mettre impérativement des rondelles pour limiter l'écartement des deux mors. Et, avantageusement, avec un cheval contracté d'un côté, il est magique de mettre la brisure du bas de ce côté.
- enfin la palette A.V. en titane, est bien utile avec les chevaux ayant tendance à tenter "un bras de fer" avec le cavalier. Sans être agressive, elle renvoit les chevaux très chauds dans l'écoute du cavalier et permet "une désescalade" dans la relation, suivie assez rapidement de l'emploi d'une des embouchures précédentes.

 

Réglage du filet Alain VENTRE, comme avec un filet ordinaire :

  • le frontal au dessus de l'articulation ATM, mais pas trop haut pour bien dégager le toupet et les oreilles du cheval.
  • les montants du filet doivent être réglés de façon à ce que lorsqu'on les prend par le milieu en étant en face du cheval, le degré de liberté (écartement par rapport à la tête) soit de 4 à 6 cm de chaque côté. Si ces montants sont trop serrés, les commissures des lèvres se trouvent anormalement plissées. Et si ces montants sont trop lâches, le mors ne se trouve plus sur le gras de la langue qui constitue sa partie supérieure, et par conséquent celle-ci se trouve vite pincée ou écrasée, surtout lorsque le cheval la remonte pour déglutir. Il est très important de vérifier ce réglage, à chaque fois avant de monter, sous peine d'avoir un cheval qui n'a qu'une envie : celle de passer la langue au dessus du mors pour la libérer de la pression (souvent beaucoup trop forte) exercée par les rênes.
  • avec la muserolle croisée (mexicaine), les montants doivent être ajustés de manière à ce que le petit anneau qui fait l'articulation de chaque côté se trouve à deux doigts au dessus de l'apophyse zygomatique. Ainsi, cela doit correspondre à une position de la pièce de croisement des lanières à une hauteur juste au dessus de la bosse qui matérialise la fin de l'os du chanfrein et le début du cartilage. Ceci pour que le cheval ne soit pas gêné pour respirer.
  • le mors doit être à la bonne taille, c'est à dire avec 5 mm de jeu de chaque côté. Il est conseillé de le présenter avec un sucre ou du miel de façon à mettre le cheval dans de bonnes dispositions pour se relâcher et saliver. Si le cheval blesse à la commissure des lèvres, il faut mettre des rondelles, de préférence en latex véritable gainant les canons du mors.
  • la sous-gorge suffisamment lâche pour que le cheval puisse se placer chanfrein vertical et nuque haute, sans être étranglé. Esthétiquement, la sous-gorge ne doit pas pour autant tomber sous la ganache.

Les réglages spécifiques sont :

  • le coeur du système est le circuit assuré par le lien en cuir et cordelette, entre le haut du mors et la muserolle, qui se finit avec le nose band, dont l'ajustage doit permettre de passer deux doigts entre la lanière et la tête du cheval.
  • la petite pièce en cuir de protection près du mors coulisse. En principe, elle doit se trouver contre le mors pour laisser le plus possible de jeu à la pièce métallique sur l'auge. Cependant, en cas de besoin avec les chevaux très chauds, il est possible de la faire coulisser pour rendre plus ferme le système.
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